Le diabète se définit par une élévation anormale de la glycémie dans le sang. En effet, cette élévation anormale de glycémie pourrait engendrer à plus ou moins long terme des dommages de plusieurs organes comme les reins, les nerfs, les vaisseaux sanguins et les yeux.
Premièrement il y a le diabète de type 1 ou autrement appelé insulinodépendant. Ce dernier résulte en effet par l’absence de production d‘insuline. Souvent, cette maladie auto-immune apparaît avant 20 ans. Deuxièmement, il y a le diabète de type 2 ou encore appelé insulino-résistance. En effet, le diabète de type 2 se caractérise par une diminution des effets de l’insuline. Alors le diabète apparaît si l’insuline ne fonctionne pas bien et que le sucre s’accumule dans le sang et le taux de glycémie augmente. Troisièmement, il y a le diabète insipide. En réalité, cette maladie est rare. Cette dernière est en effet due par un trouble d’hormone antidiurétique. Elle se caractérise par une très fréquente envie d’uriner et de boire. Et enfin il y a le diabète gestationnel qui apparaît pendant la grossesse d’une femme qui n’avait jamais eu le diabète auparavant. Ce type de diabète présente en effet un réel danger pour la mère et l’enfant car il augmente pour les deux le risque de développer un diabète de type 2 par la suite.
En général, les signes du diabète type 1 apparaissent très brutalement. Ainsi apparaissent : une sensation de faim, de soif, et de fatigue intense, le besoin d’uriner fréquemment, la perte de poids. Puis il y a le diabète de type 2, les symptômes de ce dernier apparaissent en effet plus sournoisement et plus longtemps. Les symptômes qui annoncent le diabète de type 2 sont : troubles de la vision, avoir de fortes sensation de fatigue, des plaies qui guérissent mal mais aussi avoir davantage faim et soif
]]>L’asthme allergique se caractérise par une réaction des broches tentant de se protéger contre un allergène ou un élément capable de provoquer une hypersensibilité. Il est très différent de l’asthme simple, car il se déclenche suite à l’exposition aux substances censées être inoffensives, mais très dangereuses.
L’asthme allergique est facile à enclencher, voici les produits capables de l’éveiller :
Les acariens : ce sont les premières causes susceptibles d’engendrer une crise d’asthme allergique.
Les poils de chat, les pollens, les moisissures et les poils de chien : ce sont les seconds facteurs.
Il y a aussi la pollution atmosphérique
Le tabagisme qui est en mesure de favoriser son apparition ou empirer les symptômes
Il se présente par des crises d’asthmes fréquents comme :
La personne rencontre des difficultés respiratoires, c’est la dyspnée.
Sa respiration devient sifflante quand elle expire.
Le rythme de sa respiration se modifie, une augmentation chez les enfants et une diminution chez les adultes.
Il se distingue aussi par une toux sèche, épuisante, et une sensation d’oppression au niveau de la poitrine.
Le nez se congestionne et il coule.
Les yeux sont en démangeaisons, en larme ou rouge.
Il existe deux traitements possibles :
L’asthme allergique a besoin de soins de fond :
Les corticoïdes inhalés : ils sont administrés à l’aide d’aérosols en spray et ils procèdent directement au niveau des bronches. Ils montrent des effets secondaires limités.
L’anti-inflammatoire : elle empêche l’inflammation des articulations et des tissus.
L’antihistaminique : elle soulage les réactions allergiques.
Pour le traitement de crise ou en cas de crise, l’inhalation de bronchodilatateur à courte période est importante. Elle est sous le nom de Ventoline ou Salbutamol. Le conseil est d’aller consulter un médecin en ce qui concerne la crise d’asthme allergique.
]]>Il faut savoir que les causes de l’arythmie cardiaque varient selon le type d’arythmie.
En cas de non traitement, l’arythmie cardiaque peut présenter quelques complications. L’arythmie cardiaque peut alors entraîner une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque, mais surtout une embolisation artérielle. Un caillot se forme à l’intérieur de l’artère provoquant sans obstruction. Cette obstruction peut entraîner un AVC qui se finira par une paralysie surtout chez les jeunes.
]]>Le traitement de l’arthérosclérose consiste à atténuer les symptômes et à diminuer les risques de complications de la maladie en procédant à l’inversement ou l’interruption de progression des plaques. Ainsi, il s’agit de minimiser également les risques de formation de caillots dans le sang.
La prise en charge du patient, atteint d’athérosclérose aide à prévenir les autres maladies
On utilise des antiagrégants plaquettaires et des anticoagulants pour éviter la formation de caillots sanguins lors du traitement de l’athérosclérose. Certains médecins prescrivent utilement des vasodilatateurs mais l’efficacité de ce dernier reste limité.
La prescription médicamenteuse varie en fonction de la manifestation de la maladie :
En cas d’hypercholestérolémie, on vise à stabiliser le taux de cholestérol avec les satines. Certes, des effets secondaires tels que des vomissements ou nausées peuvent apparaître au cours de la prise de ses médicaments. Pour l’obstruction du vaisseau sanguin due à l’existence de caillot sanguin, des solutions moyennant à la dissolution du caillot sont utilisé, il peut sir d’un activateur tissulaire du plasminogène comme dans le cas d’une AVC. Quant à l’infarctus du myocarde, on prescrit de l’aspirine pour maintenir et défendre la fluidification sanguine, de la morphine pour calmer les douleurs et des bêtabloquants pour ralentir le rythme cardiaque.
En cas de constatation d’une hausse du taux de cholestérol chez le patient, on adapte un traitement basée sur le changement de mode de vie. C’est-à-dire l’établissement d’un régime alimentaire saine, l’exercice physique et une gérance due la constitution physique de l’individu.
Pour le cas de l’alimentation, on conseil un régime diminutif de calorie de calories, essentiellement, il faut éviter les matières grasses que l’on détecte dans les viandes et les produits laitiers.
Par contre il est recommandé d’introduire les aliments riches en fibres solubles pour bloquer la voie digestive d’absorber le cholestérol comme les céréales à grains, les fruits et les légumineuses.
Le poisson est un élément de source d’Oméga 3, surtout le thon, le maquereau et les graisses saumon, et il fait partie des alimentations saines pour la protection du cœur.
La quantité de sel ou de sodium sont à limiter pour contribuer à une alimentation saine.
Il convient de gérer et de surveiller le poids corporel des patients en effectuant des activités physiques adéquat à certains critères que le médecin peut prescrire.
Dans des cas plus compliqués, si la maladie subsiste au traitement précédent, voir se favorise, le corps médical peut avoir recours à l’intervention chirurgicale. Trois moyens chirurgicaux sont à décrire :
La crise d’appendicite se manifeste par différents signes. Ces symptômes ne sont pas toujours les mêmes. Ils varient d’une personne à une autre. On relève :
Ø Des douleurs abdominales intenses et fréquentes situées le plus souvent sur le quart inférieur droit de l’abdomen (entre l’ombilic et la crête iliaque droite). Il est à noter que ces douleurs sont moins intenses chez les personnes âgées et les femmes enceintes.
Ø Des nausées, vomissements, légère fièvre (entre 38 à 39° de température), constipation, diarrhée, perte d’appétit accompagnent souvent ces douleurs abdominales.
La péritonite est la complication d’une appendicite non traitée. La rupture de l’appendice causera en effet une péritonite c’est-à-dire une inflammation ou infection du péritoine. Ce dernier étant une paroi fine qui sert à contenir les intestins.
La péritonite présente les mêmes symptômes qu’une crise d’appendicite mais à un degré un peu plus élevé :
· les douleurs abdominales sont très violentes,
· les nausées et vomissements sont constants,
· plus de fièvre (40°),
· une accélération des pouls,
· les muscles abdominaux de la fosse iliaque droite se contractent de manière rigide, douloureuse, tonique contre une palpation.
Il importe de faire attention à ces symptômes pour éviter une perforation de l’appendice. Une péritonite requiert effectivement une intervention médicale d’urgence.
Il existe d’autres pathologies qui présentent des signes assez similaires à une crise d’appendicite telles que : l’hépatite virale, la pneumonie de la base droite, la colique néphrétique,… Ces pathologies voisines ne devront surtout pas être confondues à une crise d’appendicite pour ne pas faire face à des complications.
Il relève en effet du diagnostic de déterminer la nature exacte des symptômes. Normalement, les signes suffisent à démontrer l’existence d’une appendicite mais il arrive que les médecins demandent aux patients de faire des examens complémentaires (un bilan sanguin, une radiographie, une écographie, ou encore un scanner abdominal qui donne un peu plus de précision) pour avoir plus d’assurance sur le diagnostic.
La crise d’appendicite se traite par une intervention chirurgicale par laquelle le chirurgien effectue une incision au niveau de l’abdomen pour enlever l’appendice infecté. Il est à noter que l’ablation de l’appendice n’aura pas d’effet secondaire sur l’organisme.
]]>La glycémie capillaire ou hémoglucotest (HGT) signifie la technique qui permet de lire dans l’immédiat la teneur du sucre dans le sang. Elle sert à dépister un trouble biologique, à surveiller un patient diabétique et son traitement. La glycémie capillaire peut se faire par soi-même ou avec l’aide d’un personnel de santé.
Préparer le matériel. Toujours bien se laver les mains à l’eau tiède et au savon avant chaque opération. Masser ou laisser pendre le côté du doigt sur lequel aura lieu la ponction. Piquer ce doigt avec l’autopiqueur et mettre la goutte de sang sur la bandelette. Insérer celle-ci dans le glucomètre et le résultat s’affichera dans les 40 secondes qui suivent, et le noter sur le carnet d’autosurveillance personnel. Pour arrêter le saignement, il suffit de comprimer le bout du doigt. Et les déchets de soins sont à jeter dans leur conteneur indiqué par le code de la santé publique.
Néanmoins, face à la simplicité et l’autoapplication de la glycémie capillaire, des précautions sont à prendre. Les codes du contenant des bandelettes et celui du glucomètre doivent être identiques. Vérifier également leur date de péremption, et noter qu’un flacon ouvert ne doit normalement pas dépasser les 3 mois. Il n’est pas nécessaire d’utiliser de désinfectant avant la piqûre, cela pourrait fausser la lecture. Il est préférable de varier les sites de ponction, mais l’auriculaire est déconseillé en raison de son hypersensibilité due à sa peau plus mince. Il n’est pas nécessaire de déposer la goutte de sang sur la bandelette, car cette dernière aspire le sang quand son bord en est approché. Il faut changer de lancette à chaque piqûre. Son mode d’entretien est prescrit sur sa notice et il s’avère prévenant de toujours posséder des piles de rechange en soi.
Si le message Hi s’affiche, c’est que la glycémie est supérieure à 33,3. Si par contre c’est le message Lo, c’est-à-dire que la glycémie est inférieure à 0,56. Quelques heures précises sont prédéfinies comme étant les moments clés de la glycémie capillaire. A jeun au réveil et avant les 2 principaux repas. En postprandial ou 2H après le début d’un repas. Pour ceux qui sont sous traitement antidiabétique, vers 17H ou 18H et le soit avant de se coucher quelques heures après le dîner.
]]>Les symptômes peuvent être passagers ou se présenter en cours de traitement. Tout cela pour dire que les dommages causés aux reins ne sont pas forcément gravissimes, ils peuvent être minimes, moyens, c’est selon les cas. Mais en l’absence de traitement, ils peuvent s’aggraver et devenir permanent. Et une fois que les dommages sont graves, cela veut dire insuffisance rénale. Vous aimerez sans doute savoir quels sont ces symptômes qui doivent alarmer et qui sont signes qu’un rein est endommagé. Ce peut être une hausse de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque, une enflure des mains, des pieds, des chevilles et d’autres parties du corps. Ce peut être aussi un changement au niveau de la miction et urine en petite quantité. Une grosse fatigue, de l’anémie, une respiration rapide, des nausées ou des vomissements, un goût métallique dans la bouche ou des maux de tête ou encore de la démangeaison sur tout le corps.
Dans le cas où vous présentez l’un ou l’autre de ces symptômes ou pire, plusieurs d’entre eux et qu’ils perdurent, il est temps de consulter. Vous subirez alors une batterie d’examens avant de vous administrer un traitement. En général, on vous fera faire des examens physiques, notamment pour mesurer votre pression artérielle, suivra une analyse d’urine et une analyse de sang complète. Vous aurez aussi à faire des analyses biochimiques sanguines ainsi qu’une échographie des reins.
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